A la veille d’un vote très attendu mercredi qui pourrait déclencher une procédure de sanctions à l’encontre de la Hongrie, mais surtout rebattre les cartes des forces politiques européennes huit mois avant les élections, la venue de Viktor Orbán a donné lieu à de vives échanges, aujourd’hui au Parlement européen à Strasbourg. La gauche et les libéraux dénoncent de multiples violations de l’état de droit, Orbán et ses proches se défendent et parlent d’un procès « à charge ». Une partie importante du PPE pourrait finalement lâcher le patron du Fidesz demain . . .
Lisez cet article gratuitement.
Inscrivez-vous ou identifiez-vous pour accéder gratuitement à tous les articles du Courrier d'Europe centrale.