Le Bureau National d’Investigation (NNI) de la police hongroise n'ouvrira pas d'enquête en lien avec les allégations selon lesquelles George Soros représenterait une menace pour la Hongrie, en raison d'un manque de preuves. La situation est ubuesque. Face à la propagande paranoïaque du Fidesz, c'est le parti post-fasciste Jobbik qui monte au créneau. Un député du Jobbik, Ádám Mirkóczki, a en effet mis au défi le Fidesz de prouver les allégations contenues dans la "consultation nationale" concernant le "plan Soros . . .
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