Les socialistes du MSzP, encore aux affaires en Hongrie pour sept semaines, se félicitent des remarques élogieuses du FMI et des instances européennes formulées lundi, à propos des finances du pays.
En bon opposant, le Fidesz reste de mauvaise foi sur le bilan économique du gouvernement Bajnai, et l'accuse d'avoir approfondi la crise. Au centre, le FMI constate, mais ne s’immisce pas dans les affaires internes du pays, surtout pas en période de campagne électorale. Il ignore de ce fait les sondages qui promettent à Orbán une large majorité au Parlement en avril.
Lajos Szabó, membre MSzP de la commission budgétaire au Parlement, a rapporté qu'à l'issue d'une réunion lundi, le FMI "apprécie les efforts de la Hongrie". Nous nous en serions doutés... Mihály Varga, bras droit de Viktor Orbán au Fidesz, a, lui, signalé "qu'un changement est maintenant non seulement attendu en Hongrie, mais également ailleurs." Varga est d'ailleurs prévu, en cas de victoire, aux ministère des Finances déjà depuis l'été dernier.
Prendre en compte le changement d'approche économique qu’occasionnerait un retour d . . .
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