Le 29 mars dernier, le Vatican officialisait l’ostracisme de deux ecclésiastiques polonais pour leur négligence à l’égard de violences sexuelles commises au sein de leurs diocèses respectifs. Si cette décision est extérieure à la Pologne, elle pourrait aussi bien participer d’une rupture de l’omerta à l’intérieur même de l’Église polonaise. Le 7 mars dernier, les dominicains de Wroclaw dénonçaient publiquement les agissements de l’un de leurs confrères au cours des années 1990-2000 . . .
Lisez cet article gratuitement.
Inscrivez-vous ou identifiez-vous pour accéder gratuitement à tous les articles du Courrier d'Europe centrale.