Décrié dans son propre pays, mais salué, si ce n’est encensé à l’international, Gordon Bajnai (voir photo, à Columbia, NYC) s’apprête à quitter le poste de premier ministre qu’il a occupé depuis le mois d’avril 2009. Le moment est venu de tirer le bilan de ses 12 mois aux rênes du pays et d’évoquer l’ « héritage » qu’il laisse à ses successeurs de la FIDESz . . .
Lisez cet article gratuitement.
Inscrivez-vous ou identifiez-vous pour accéder gratuitement à tous les articles du Courrier d'Europe centrale.