La Hongrie a (entr)ouvert ses portes à 1 300 réfugiés l'année dernière. Une information révélée malencontreusement qui est bien embarrassante pour Viktor Orbán, pourfendeur de l’immigration et du multiculturalisme. Quand les Hongrois découvrent que leur pays accueille des réfugiés - « Envahisseurs musulmans », « poison migratoire », « migrants-terroristes »… Noyé dans le flot de cette rhétorique xénophobe entendue sur les bords du Danube ces trois dernières années, les Hongrois étaient loin de s’imaginer que, dans le même temps, leur gouvernement (entre)ouvrait les portes du pays à des demandeurs d’asile afghans, irakiens et syriens . . .
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