Vendredi soir, Gergely Kovács, le président du Parti satirique du chien à deux queues (MKKP) a tenté de répondre avec humour au journaliste de la chaîne conservatrice Echo TV. Le moment, surréaliste, témoigne bien du fossé culturel et politique qui peut parfois séparer les "deux Hongrie".
Vendredi soir, l'invité de la rédaction de Vilmos Velkovics n'était autre que Gergely Kovács, le président du Parti du chien à deux queues (MKKP), organisation satirique considérée comme l'un des responsables de l'échec du référendum voulu par Viktor Orbán contre les réfugiés. La raison ? La contre-campagne d'affichage à travers tout le pays, durant laquelle des messages tous plus absurdes les uns que les autres concurrençaient la propagande gouvernementale, créant un véritable engouement à travers le pays. Fort de son succès, le MKKP a déclaré vouloir entrer en politique et s'est allié récemment au mouvement Momentum pour réclamer une consultation municipale sur l'organisation des Jeux olympiques à Budapest.
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