Lors de son 27e sommet, vendredi 8 et samedi 9 juillet, l’Alliance atlantique avait deux priorités : faire face à la Russie et lutter contre le terrorisme.
Varsovie, correspondance - Rencontre qualifiée d’historique bien avant qu’elle ne débute, elle s’est achevée sans surprises, tous ses objectifs atteints. Le premier d’entre eux était de renforcer le flanc Est de l’Alliance pour contrer la Russie. «L’Otan ne cherche pas la confrontation, nous ne voulons pas une nouvelle guerre froide, c’est de histoire, du passé, ça doit rester dans le passé», a immédiatement assuré Jens Stoltenberg, le secrétaire général de l’organisation transatlantique, vendredi matin.
« Le plus vaste mouvement de personnel de l'Otan depuis la fin de la Guerre froide »
Comme prévu, quatre bataillons (environ 4 000 hommes, dont 150 Français) «robustes et multinationaux» seront envoyés en Pologne et dans les pays baltes à partir de 2017. Ils stationneront par roulements de six à neuf mois avec une base permanente située en Pologne. Ce devrait être «le plus vaste mouvement de . . .
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