En marge de la réforme des retraites hier, une loi anti graffitis a été votée par le Parlement. Anecdotiques d'un point de vue expatrié peut-être, mais apparemment exaspérants pour certains habitants de Budapest, les tagueurs sont maintenant bel et bien dans la ligne de mire des autorités. En tous cas, cette loi, qui prévoit jusqu'à un an de prison ferme pour les graffeurs sauvages est dans la veine "vieille école" des moeurs prônées par le gouvernement, qui a décidé de faire marcher droit les plus marginaux de ses administrés.
Quoi qu'en dise le reportage de mai dernier sur Arte, intitulé Insolents : rage de graffiti à Budapest, il suffit de venir de Paris de Berlin ou encore de Montpellier, et d'habiter Budapest pour s'apercevoir que la capitale hongroise n'a jamais été véritablement "sous les bombes" comme le chantait NTM dans les années 90... Et pour . . .
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