Lors du conflit russo-géorgien en 2008, Viktor Orbán avait pris fait et cause pour la Géorgie agressée et mettait en garde contre « l'impérialisme » russe qui pourrait prendre l’Ukraine pour cible . . .
Lisez cet article gratuitement.
Inscrivez-vous ou identifiez-vous pour accéder gratuitement à tous les articles du Courrier d'Europe centrale.