Il est vrai que la politique hongroise brille souvent par ses scandales (rumeurs, corruptions, coups tordus, complots, etc.). Toutes ces affaires ont fini par décourager un grand nombre de Hongrois à continuer à croire en leurs politiques.
Hier, mardi 6 avril, c'était au tour du LMP (Lehet Mas a Politika - "Une autre politique est possible") de se retrouver au cœur d'une "affaire" : le SzDSz ("Alliance des démocrates libres") a annoncé vouloir ouvrir une enquête après le premier tour des élections sur l'un de ses leaders, le très libéral János Kóka, ancien ministre des finances du gouvernement Gyurcsány de 2006 à 2008.
Il l'accuse d'avoir aider le LMP à recueillir des soutiens pour participer à cette élection. Cette accusation a été réfuté par LMP et par János Kóka lui même.Mais le mal est fait. Les démocrates-libéraux du SzDSz, parti de gouvernement désormais moribond, auraient réussi à "salir" l'image de LMP, qui plus est quelques jours avant le premier tour, en alimentant une rumeur persistante depuis les débuts de ce parti. Selon certains au SzDSz, on retrouverait derrière . . .
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