Dans un courrier envoyé à Viktor Orbán ce matin, le chef de l'Etat français a félicité "chaleureusement" le nouveau Premier ministre hongrois, pour sa large victoire dans les urnes.
Il partage à cette occasion l'analyse du Fidesz, selon laquelle ce résultat majoritaire est historique et relève d'une "révolution" électorale. Bien qu'un grand écart quant aux intérêts franco-hongrois existe entre les deux hommes, notamment à Pécs par exemple, ils pourraient bien s'entendre sur leur styles respectifs.
Dans un langage diplomatique qui ne lui ressemble pas, il a souligné que le résultat du Fidesz fait appel à "une responsabilité particulière, au moment où, plus de six ans après son entrée dans l'Union européenne, la Hongrie va assumer la présidence du Conseil de l'Union européenne au premier semestre 2011". On voit de quoi il parle, lui qui s'est si bien mis en avant lors de sa Présidence française de l'UE.
Grâce au quinquennat présidentiel en France mis en place à partir de 2002, ses deux victoires consécutives aux élections présidentielles et législatives avec . . .
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