Fini les courbettes, place au bras-de-fer. La demande de la mairie de Prague de révoquer un article d'un accord bilatéral avec la ville de Beijing a mis le feu aux poudres et voilà que le gouvernement tchèque vient s'en mêler. Ces fortes tensions pourraient remettre en cause des années de rapprochement sino-tchèque.
Le nouveau ministre de la culture Lubomír Zaorálek (social-démocrate) n'a pas mâché ses mots à la sortie de sa rencontre avec l'ambassadeur chinois la semaine dernière, demandant aux journalistes : « Comme pouvez-vous établir des liens de confiance avec un ambassadeur qui vous ment en pleine face . . .
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