Vladimir Poutine a récemment accusé le Parlement européen de réécrire l'histoire de la Seconde Guerre mondiale au détriment de la Russie et de ses héros de guerre. Archives en main, il a pointé du doigt la Pologne, qu'il accuse d'avoir été l'architecte de ses propres malheurs et d'avoir été complice de l'antisémitisme du Reich hitlérien. Gwendal Piégais a interrogé Sergey Radchenko, un historien qui a passé au crible le cours d'histoire dispensé par le président russe.
La scène a surpris plus d’un observateur international. A l’occasion d’une rencontre informelle entre les chefs d'État de la Communauté des États indépendants, devant le Premier ministre arménien, les présidents des républiques du Turkménistan, d’Azerbaïdjan, du Belarus, du Kazakhstan . . .
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