L’arrivée de la Fidesz au gouvernement et à Budapest n'a pas fait de miracles pour la situation financière de la BKV, au contraire. Selon les responsables municipaux, tout le système de transports publics de la capitale serait sur le point de s’effondrer si l’Etat ne le sauvait pas immédiatement et il pourrait même entraîner le pays tout entier dans sa banqueroute. Du côté du gouvernement, on critique publiquement la gestion et le style d’István Tarlós, que le parti au pouvoir avait pourtant « placé » à la mairie de Budapest . . .
Lisez cet article gratuitement.
Inscrivez-vous ou identifiez-vous pour accéder gratuitement à tous les articles du Courrier d'Europe centrale.