« Moi, je ne suis pas syrien, alors… » À la gare de Budapest, le désarroi des exilés Afghans laissés pour compte

..alors je peux aller me faire voir. C'était ce que semblait vouloir dire Masoud l’afghan. C’était au début du mois de septembre à la gare Keleti de Budapest . . .

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Corentin Léotard

Rédacteur en chef du Courrier d'Europe centrale

Journaliste, correspondant basé à Budapest pour plusieurs journaux francophones (La Libre Belgique, Ouest France, Mediapart).