L'ex-premier ministre socialiste Ferenc Gyurcsány a pensé bénéficier d'une fenêtre de tir contre Viktor Orbán avec le déclenchement d'une procédure européenne contre la Hongrie le 12 septembre dernier. Mais depuis mardi, ses rassemblements quotidiens devant le Parlement n'attirent pas les foules.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán peut encore dormir sur ses deux oreilles. Son ancienne "bête noire" Ferenc Gyurcsány, qui a appelé le 16 septembre dernier à le "renverser dans la rue" ne parvient pas à convaincre les Hongrois de se joindre à sa "marée humaine". Les rassemblements qu'il tient depuis mardi dernier sur la place du Parlement à Budapest n'attirent pas les foules . . .
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