«Il faut de toute façon partir un jour»

Comme de nombreuses régions rurales du pays, le département de Somogy est frappé par le déclin démographique. A la frontière avec la Croatie, les villages se désertifient, les habitants partent travailler en Angleterre...et les écoles ferment.

La version originale de cet article écrit par Péter Hardi, a été publiée le 12 août 2016 dans Szabad Föld sous le titre «Egyszer úgyis menni kel». La traduction en français a été réalisée par Paul Maddens.

A Vízvár, longtemps on n'a pas voulu y croire : le cycle supérieur de l’école générale (primaire et collège rassemblés ¹) n’ouvrira pas cet automne et il est à craindre que dans peu de temps les classes inférieures ferment aussi et que pour finir un cadenas soit aussi posé à l’óvoda (le jardin d’enfants). Les habitants du village maugréent car le transport des enfants vers d'autres écoles leur causent toutes les peines du monde. Les décideurs parlent d’égalité des chances, mais en vérité les charges . . .

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Péter Hardi

Journaliste

Membre de la rédaction de Szabad Föld