Budapest a mis le revanchisme en sourdine pour ne pas compromettre les intérêts géostratégiques de Viktor Orbán en Europe médiane.
Quelle sobriété ! Par comparaison avec la surenchère à laquelle on a pu assister il y a dix ans entre les deux droites, le Jobbik et le Fidesz. Quelques posters ont été affichés ici et là dans le pays pour proclamer « Nous étions unis et nous le restons. Diminués, mais toujours debout ». Les médias publics et pro-gouvernementaux organisent aussi des programmes culturels spéciaux. Mais pas de déclarations fracassantes s’élevant des rangs du Fidesz. Pas jusque-là en tout cas . . .
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