Avec l'ombre de l'ANO d'Andrej Babiš qui plane sur la vie politique, le journaliste tchèque Martin Ehl estime que la Tchéquie n'est pas à l'abri d'une expérience "illibérale" telle qu'on l'observe en Pologne et en Hongrie.
La frontière du possible s’étend en politique en Europe Centrale. Le parti au pouvoir en Pologne change la façon de nommer les juges afin que le Ministère de la Justice les ait sous son contrôle absolu. Et il veut complètement changer le Tribunal Constitutionnel, le dernier organe de contrôle sur lequel le parti n’a pas d’influence . . .
Lisez cet article gratuitement.
Inscrivez-vous ou identifiez-vous pour accéder gratuitement à tous les articles du Courrier d'Europe centrale.