Supposons que Viktor Orbán soit rom et que ses enfants ont subi une ségrégation totale à l’école. Il aurait le droit de se sentir offensé si le Premier ministre hongrois ne prenait la défense de sa famille et, au contraire, contestait la décision de justice qui les a reconnus comme victimes de « ségrégation scolaire » et prévoit leur indemnisation, écrit un journaliste d'Index.hu . . .
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