Chers lecteurs,
Ainsi que vous avez pu le constater, la rédaction du Courrier d’Europe centrale a, dans les jours qui viennent de s’écouler, mis beaucoup de moyens et d’énergie afin de couvrir les événements au Bélarus ; via un « fil direct » d’abord puis par l’intermédiaire d’articles sollicitant l’éclairage de spécialistes.
Ce travail a naturellement demandé la mise en œuvre de ressources linguistiques spécifiques, la recherche de contacts sur place et de chercheurs pour offrir l’éclairage le plus pertinent et le plus juste. Il a demandé beaucoup d’engagement à un média comme le nôtre qui, pour fonctionner, ne possède que les ressources propres offertes par ses abonnés.
Nous tenions donc à remercier très sincèrement les nombreuses personnes (abonnées ou pas) qui nous ont adressé leurs encouragements à cette occasion et à expliquer en quelques mots ce choix éditorial.
Comme nos lecteurs fidèles le savent, le Bélarus n’était pas, jusqu’ici, le pays le plus évoqué dans le Courrier d’Europe centrale. Néanmoins, plusieurs de nos correspondants et rédacteurs ont déjà pu, ces derniers mois, consacrer plusieurs articles à l’actualité politique et sociale de ce pays. Notre regain d’activité rejoint un souhait ancien de donner plus de visibilité à ce pays. Il nous semble en effet nécessaire de nous intéresser au Bélarus qui, entre la Russie et l’Europe occidentale, appartient indéniablement à l’ensemble que nous avons à cœur de faire mieux connaître au public francophone.
Depuis plusieurs mois désormais, Le Courrier d’Europe centrale – initialement centré sur les quatre pays du groupe de Visegrád (Hongrie, Tchéquie, Slovaquie, Pologne) – a élargi le spectre de ses activités aux pays baltes, à l’Ukraine, à la Roumanie et à présent au Bélarus ; trouvant là son périmètre quasi-définitif. Nous ferons de notre mieux pour rendre compte de l’actualité de ces régions et nous comptons plus que jamais sur votre soutien, qui nous est précieux.