Le 12 septembre, le Parlement Européen a décider de déclencher l’article 7 contre la Hongrie de Viktor Orbán. Dans le flot des défections observées parmi ses alliés traditionnels, le Premier ministre hongrois a pu compter sur les Polonais du parti Droit et Justice (PiS). Et pour cause : depuis le mois de décembre 2017, Varsovie est sous le coup d'une procédure similaire.
Dans le pays, le premier à prendre publiquement la défense d’Orbán a été le président de la Diète, Marek Kuchciński. Il a publié sur son compte Twitter un tweet dans lequel il estime que le déclenchement de l’article 7 contre la Hongrie provoque une scission au sein de l’Union Européenne. Il a également mis en relief que la scission ainsi produite renforcerait la crise dans laquelle se trouve, selon lui, la communauté européenne . . .
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