"Si Zagreb échoue à rejoindre l’UE, cela privera aussi les autres Etats des Balkans de perspectives européennes", a déclaré le premier ministre, selon qui la région des Balkans est moins tranquille qu’il n’y paraît. Dans sa longue marche vers l’Union Européenne, Zagreb peu compter sur cet allié de poids, malgré le peu d’entrain d’autres pays de l’Union, la France en premier lieu. Budapest a maintes fois répété que l’adhésion de la Croatie, avec qui la Hongrie partage des liens historiques forts, était l’une des priorités de sa présidence de l’UE.
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