Fortement critiqué à l’international sur la question de la nouvelle modification de la constitution, le 1er ministre hongrois a convié jeudi la presse internationale avant même l'ouverture d’un sommet européen pour déblayer le terrain. En mode bulldozer, à en croire les propos rapportés par la RTBF : "Que ceux qui pensent que nous affaiblissons l'Etat de droit nous donnent des faits concrets. […] Nous serions très heureux de pouvoir répondre à ces inquiétudes, mais il n'y a pas un seul fait concret dans tout cela. Parler de manière générale en disant : « On n'aime pas ça », ce n'est pas assez concret pour que l'on puisse réagir. D'abord lire, ensuite écouter, enfin agir, c'est ça la méthode européenne . . .
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