L’invitation du président du parti d’extrême-droite Jobbik au Spinoza Café, « citadelle de la culture juive et libérale » à Budapest, divise les Juifs de Hongrie. Faut-il accepter la main tendue de Gábor Vona qui jure que son parti a renoncé à l’antisémitisme, tout en risquant de se rendre complice d’une simple tactique électoraliste ?
Le jury se trouve dans une situation difficile - il y a des arguments et des contre-arguments. Dans ce qui suit, je propose aux membres des deux camps de poser quelques jalons, autrement dit, j’essaie de les aider en leur apportant quelques arguments, au-delà des injures . . .
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