L’objet du conflit survenu la semaine dernière : les primes dûes aux chauffeurs de l’enseigne de grande distribution britannique. Il semblerait que quelque 210 chauffeurs sont venus grossir les rangs de ceux qui auraient d’ores et déjà porté plainte pour ce retard de paiement. Les plaignants en ont également profité pour dénoncer leur régime d’astreinte.
Selon le syndicat des chauffeurs, à cette entourloupe s’ajoute une protestation contre un statut instable, qui impose aux chauffeurs d’être quasiment à l’entière disposition de Tesco dans les plus brefs délais. La direction, qui pourrait bien devoir payer un total d’environ 1 milliard de HUF aux salariés mécontents, a exprimé son incompréhension. Selon Tesco, le salaire de ses chauffeurs est amplement suffisant.