Alors que le parlement tchèque débat d'un projet de loi sur les référendums proposés par l'extrême-droite et soutenu par les communistes et le Parti pirate, le Premier ministre du gouvernement démissionnaire, Andrej Babiš, évoque une sortie de l'Union européenne. A2larm, le journal de la nouvelle gauche, publie une satire au vitriol sur le Czexit.
Tribune de Tomáš Tožička, spécialiste en développement régional, publiée le 1er février 2018 dans A2larm. Traduite du tchèque par André Kapsas.
Lors d'une rencontre avec le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, le Premier ministre du gouvernement démissionnaire, Andrej Babiš (Mouvement des citoyens mécontents - ANO) a clairement déclaré qu'il pourrait y avoir un référendum sur la sortie de l'Union européenne si la Commission européenne ne négociait pas avec la Tchéquie d'égal à égal. Ce que l'on sait, c'est que ce message a suscité chez Juncker une joie mal dissimulée. On dirait que Juncker et Babiš s'entendent aussi bien que Václav Klaus . . .
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