Au lendemain de l'annonce de la police l'accusant, lui et ses proches, de détournement de fonds européens, le premier ministre tchèque Andrej Babiš a contre-attaqué en remplaçant son ministre de la justice, jeudi 18 avril. Le tollé est général dans le pays, l'opposition et la société civile l'accusant de vouloir influencer le système judiciaire.
Pour les familles tchèques qui se sont risquées à parler politique lors du repas pascal, c'était assurément le dernier coup de Babiš qui était sur toutes les lèvres. Alors que tous se préparaient à partir pour une longue fin de semaine . . .
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