Fille d’un écrivain et d’une animatrice télé, Tamara Šimončíková Heribanová passait ses weekends dans le village d’Horná Streda, en Slovaquie. Là-bas, la main dans celle de sa grand-mère, elle admirait les travailleuses au fuseau s’adonnant à leur art. Aujourd’hui, elle collectionne les robes folkloriques du passé.
Du lundi au samedi, elles portaient leurs tenues de travail et, le dimanche, elles sortaient de leurs armoires des vêtements aux couleurs flamboyantes. User trop rapidement ces habits de fête aurait été un péché ! Elles savaient très bien qu’il fallait plusieurs mois pour fabriquer la fine dentelle qui ornait leurs manches volumineuses. C’est ce que se remémore Tamara Šimončíková Heribanová quand vous lui demandez comment elle est tombée amoureuse des costumes folkloriques. Jeune écolière à Bratislava, elle a découvert le monde mystérieux des motifs traditionnels grâce à sa grand-mère. Fille d’un écrivain et d’une animatrice télé, Tamara passait ses weekends dans le village d’Horná Streda, à quelques kilomètres de la ville thermale de Piešťany. Là-bas, la main dans celle de sa grand-mère, elle admirait . . .
Lisez cet article gratuitement.
Inscrivez-vous ou identifiez-vous pour accéder gratuitement à tous les articles du Courrier d'Europe centrale.