D’une rive à l’autre du Danube, l’équipe de BKL a promené ses objectifs pour capturer un instant de la vie des Budapestois.
Cet article a été publié sur la page Facebook du Budapest Kultur Lab, sur laquelle vous pouvez retrouver toutes les productions des étudiants du master 1 de l’Institut de journalisme de Bordeaux-Aquitaine (IJBA), en immersion à Budapest du 8 au 16 mai 2017. |
András. 25 ans de mécano sur des ferrys dans les eaux du Danube. 10 ans dans la rue. Aujourd’hui, il dort, avec 11 âmes qui partagent son destin de migrant, d’hôtel en hôtel. Comment il les paye ? « En allant vendre son sang à Vienne »
Saad, 59 ans « Je tiens un petit café dans le quartier du 8e arrondissement. Les affaires ont mal commencé mais avec l’arrivée des touristes je commence à m’en sortir. »
István – 73 ans « Après avoir vendu mes bretzel, j’aime bien marcher sur les quais du Danube ou parcourir l’île Marguerite et sa fontaine musicale ».
Mihály et Abris, 18 ans « Pour notre pause déjeuner, on aime bien les bords du Danube. »
Andrew, 50 ans « Je viens à Budapest deux fois par mois pour mon travail. Cette ville est fantastique, notamment pour faire du sport. Je cours sur les hauteurs de Buda jusqu’à la Citadelle et je redescends par le Lánchíd. »
Agapé, 34 ans « J’habite et je travaille dans le centre mais c’est vraiment touristique. Donc si je peux, les week-ends, je file au dessus du lac Balaton « .
Burak, 22 ans. « Je suis un étudiant turc, et je fais mon Erasmus à Budapest depuis août dernier. J’étudie en journalisme, je réalise qu’il sera difficile pour moi d’exercer ce métier de retour en Turquie. Ici, je lis surtout les infos en anglais, mais je m’informe particulièrement par le bouche à oreille, c’est plus intéressant. »
Une fille / un chien. Laura et son lévrier afghan, Majesté « parce qu’il est majestueux ». Quand elle ne ramasse pas les crottes papillons de Majesté devant un bar (true story), Laura « kiffe se balader parmi les graffs dans le ghetto de #Jozsefvaros »