Un individu tchétchène, du nom de Magomed Dasaev, a posté le 19 avril dernier une vidéo dans laquelle il demandait à un militant hongrois Gergely Komáromy, de présenter ses excuses pour avoir saccagé le mémorial soviétique de Szabadság tér. L'affaire a levé de nombreuses interrogations sur les liens entre Dasaev et les services secrets hongrois.
Tribune de Csaba Lukács, publiée 7 avril 2017 dans Magyar Nemzet sous le titre "Csecsen ügyfeleink". Traduite du hongrois par Ludovic Lepeltier-Kutasi.
Je n'ai pas entendu d'histoire plus alarmante ni plus incroyable dans la vie publique hongroise que celle du tchétchène Magomed. Pour ceux qui ne sont pas au courant : après avoir jeté de la peinture sur le mémorial soviétique de Szabadság tér avec des amis militants, Gergely Komáromy a été abordé par ce type originaire de Tchétchénie. La scène de ce "dialogue amical" a même été immortalisée par un enregistrement vidéo dans lequel le militant faisait acte de contrition . . .
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