Un rapport d'un think tank britannique fait le point sur la situation de la communauté rom au Royaume-Uni dans le contexte d'incertitude post-Brexit. Celle-ci est principalement composée de ressortissants de pays d'Europe centrale et orientale.
Londres, correspondance - L'Institute for Public Policy Research (IPPR) vient de publier en octobre un rapport intitulé Communauté rom et Brexit - Intégrer et donner aux Roms les moyens de réussir au Royaume-Uni («Roma community and Brexit - Integrating and Empowering Roma in the UK»). Il y fait l'état des lieux de la situation de la communauté Rom au Royaume-Uni dans le contexte d’incertitude suite au vote du Brexit de juin dernier.
Estimée entre 80000 et 300000 personnes, la communauté Rom de Grande-Bretagne s'est considérablement agrandie durant les années 2000, lors des élargissements successifs de l'Union européenne vers des pays d'Europe centrale et orientale. Une grande partie d'entre elle possède le passeport d'un pays européen mais pas forcément la citoyenneté britannique. Marley Morris, chercheur à l’IPPR et auteur du rapport, identifie trois risques majeurs auxquels . . .
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