Hier, le Parlement hongrois accueillait Anders Fogh Rasmussen, Secrétaire général de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (Otan), pour une conférence marquant le soixantième anniversaire de l'organisation internationale. L'essentiel du rendez-vous a porté sur la capacité des nations membres à affronter les nouveaux défis géopolitiques, sur leur contribution à fonder une Europe unie et démocratique, et sur une refondation du concept de sécurité.
Rasmussen a énoncé un objectif "réaliste" selon lui, celui de remettre la lourde tâche sécuritaire aux autorités afghanes dès l'an prochain. Le ministre des affaires étrangères hongrois, Péter Balázs, a lui aussi pris part à la conférence, en déclarant qu'une "coopération encore plus étroite entre l'Union Européenne et l'Otans'avère nécessaire, et qu'une quelconque rivalité entre les deux institutions serait déraisonnable et absurde".
A propos de l'élargissement, Balázs a également conféré à l'Otan une solidité et une cohérence plus importante qu'elle n'existe actuellement au sein de l'UE. Cependant, il a ajouté que beaucoup de conflits existent entre . . .
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