Aujourd’hui vendredi, le Président de la Commission européenne José-Manuel Barroso rencontrera à Budapest un premier ministre hongrois quasi-omnipotent dans son pays pour tenter de lui faire faire machine-arrière sur sa réforme des médias et sur ses taxes de crise.
Jeudi, le premier ministre hongrois a fait preuve de défiance vis-à-vis des autres Etats membres de l’Union, au premier rang desquels la France, en retournant contre eux les critiques qui lui étaient adressées sur la question de la liberté de la presse. Et pour cause. Viktor Orbán est un premier ministre tout-puissant dans son pays qui n’a pas l’habitude que l’on s’oppose à lui. Selon sa propre terminologie, une « révolution des urnes » l’a porté au pouvoir au mois d’avril de l’année dernière . . .
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