Les mesures coercitives affectant directement les clochards qui squattent l'espace public au centre ville ont, pour la plupart, déja été prises. Mardi, par voie de presse, le maire de la capitale hongroise István Tarlós a officiellement déclaré qu'il souhaitait réintégrer les exclus du système social, mais qu'il ne les laisserait pas continuer à mener leur vie dans les gares et dans les passages souterrains.
La veille, Kossuth Rádió annonçait que la plupart de ces personnes avaient accepté l'assistance publique et "déménageraient" très prochainement dans des centres qui leur étaient réservés. Début novembre, Tarlós avait promis qu'il "nettoierait" l'espace public de Budapest avant la mi-décembre, et que les clochards qui lui résisteraient seraient punis d'une façon ou d'une autre. Il a ajouté mardi que Budapest avait reçu 80 millions de forints du gouvernement pour les loger, et qu'il était maintenant grand temps de satisfaire "l'intér . . .
Lisez cet article gratuitement.
Inscrivez-vous ou identifiez-vous pour accéder gratuitement à tous les articles du Courrier d'Europe centrale.