Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a provoqué une vive controverse ce printemps en se prononçant en faveur de la réouverture du débat sur la peine capitale. Ce qui suit est la traduction d’un témoignage du juge qui a fait pendre le dernier condamné à mort en Hongrie, en 1988 . . .
Lisez cet article gratuitement.
Inscrivez-vous ou identifiez-vous pour accéder gratuitement à tous les articles du Courrier d'Europe centrale.