Le parti d’extrême-droite hongrois Jobbik mène une grande campagne de collecte signatures pour presser la Commission européenne de s’emparer de la question des bas salaires dans les pays d’Europe centrale et orientale.
« Ou bien nous mettons en place une union salariale et une Europe intégrée, ou bien nous resterons avec une Europe à deux vitesses qui finira par s’effondrer ». Tels sont les mots de Gábor Vona, le président du Jobbik, qui s’est exprimé la semaine dernière lors du grand forum économique qui se tient annuellement dans le sud de la Pologne, à Krynica . . .
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