Le pari d’extrême-droite a appelé le gouvernement hongrois à établir des relations diplomatiques, suspendues à la fin de l’année 2012, avec le gouvernement du président syrien Bachar Al-Assad. Le député en charge des relations étrangères du parti, Márton Gyöngyösi, a même réclamé que le gouvernement présente des excuses au peuple syrien.
L’affaire de l’espion présumé Béla Kovacs a mis en lumière les liens très étroits entre le parti Jobbik et la Russie alliée du gouvernement syrien. Depuis la fin des années 2000, le Jobbik s’est fait un relais des positions diplomatiques de Moscou en Hongrie.
Source : Alfahir / Jobbik.com