Autrefois libérale et frondeuse, pétillante de vie, de culture et d’impertinence, Novi Sad s’est endormie au point de devenir un bastion nationaliste. Chantre de sa ville, l’écrivain de langue hongroise László Végel interroge sa relation jamais assumée au passé, abandonné comme un cadavre puant au bord de la route... Entretien . . .
Lisez cet article gratuitement.
Inscrivez-vous ou identifiez-vous pour accéder gratuitement à tous les articles du Courrier d'Europe centrale.