Le week-end dernier, la présidente de l'assemblée de femmes en Languedoc-Roussillon, Geneviève Tapié, était à Budapest pour la remise du prix de la socialiste européenne ayant le plus œuvré pour renforcer la place des femmes dans la vie publique et promouvoir les valeurs de la démocratie en 2009.
Elle s'est rendue en Hongrie pour ne pas recevoir ce prix, dont elle était encore la lauréate désignée il y a peu. C'était sans compter le "buzz" de son fameux président de Région, pour le meilleur électoral et la pire réputation hors des frontières de la "Septimanie" (voir photo). Ancienne membre du Parti Socialiste français, elle en a été exclue il y a quelques semaines pour son engagement auprès du plus médiatique des élus de province, Georges Frêche.
En pleine campagne d'élections régionales qui ne passionnent pas grand monde dans l'hexagone, "l'affaire Tapié" vient s'ajouter au scandaleux dossier Frêche. Celui-ci a beaucoup concentré les regards vers Montpellier ces dernières semaines, avec des déclarations dont il savait certainement que la teneur allait être r . . .
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