Fischer Iván, un film consacré au grand chef d'orchestre hongrois, est projeté en ce moment dans les salles d’Art et d’Essai de Budapest : Cirko, Müvész, Puskin, Tabán et Toldi. Une belle leçon d’humanité et de tolérance.
par Pierre Waline
« L’amour de l’homme par la musique » : tel est le titre que j’avais un jour donné à un exposé consacré à Beethoven... Sans vouloir blesser la modestie d’Iván Fischer, voilà un titre que je reprendrais volontiers pour qualifier la démarche du chef hongrois. Ceci à propos d’un film-portrait qui lui est consacré, sorti récemment sur les écrans de Budapest (1). Un film qui donne la part belle à la musique, certes, mais qui ne devrait pas décourager les non-mélomanes, car son message va bien au-delà. ♫
Soixante quinze minutes durant, nous accompagnons le chef et son orchestre (2) au fil de leurs tournées de par le monde (dans une bonne douzaine de villes sur trois continents). De scènes alternant extraits de concerts ou répétitions, moments de détente et confidences. Un coup de chapeau . . .
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