Brice Taton, un supporter du Toulouse Football Club, tombé dans un coma profond en Serbie en marge d’un match d’Europa League opposant le Partizan Belgrade à Toulouse a succombé, ce mardi, à de multiples blessures. Le jeune français de 28 ans avait subi, le 17 septembre dernier les assauts d’une horde de hooligans serbes armés de barres de fer et de chaines de vélo.
Le hooliganisme dans le football n’en fini plus de frapper particulièrement à l’Est de l’Europe. Cette affaire, au dénouement tragique, a connu une couverture médiatique importante et a suscité une indignation générale dans l’Europe entière. Sorti de sa torpeur, le monde politique européen a promis le renforcement des mesures de sécurités à l’intérieur et à l’extérieur des stades, ainsi que l’application de peines lourdes pour tout auteur d’acte « hooligan ». Cet été, des événements avant-coureurs, moins médiatisés car ayant connu une fin plus « heureuse », auraient pourtant dû contraindre les responsables politiques à agir plus tôt. Aujourd’hui, les hooligans serbes sont au centre de tous les débats mais les hooligans hongrois auraient . . .
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