En Hongrie, on n’est pas Charlie

En Hongrie, par excès de zèle, en bafouant la liberté d’expression, les propriétaires de médias et les journalistes seraient menacés ou licenciés pour une mauvaise blague et en Hongrie, on peut faire condamner quelqu’un s’il écrit qu’un maire est moche ou si on écrit que tel ou tel vin, c’est de la merde . . .

Lisez cet article gratuitement.

Inscrivez-vous ou identifiez-vous pour accéder gratuitement à tous les articles du Courrier d'Europe centrale.