A l'image de la cérémonie de clôture de son festival en Hongrie, samedi 27 mars à Budapest, la "francophonie" est, en termes concrets, bien plus de la Représentation et que de la Culture. Mais la démonstration faite au musée d'ethnographie sur Kossuth tér n'était rien comparé au "tohu-bohu" médiatique du secrétaire d'Etat à la coopération et à la francophonie lui-même, qui a marqué les médias français toute la semaine dernière.
Dans un décor dantesque, les quelques centaines d'invités francophones à Budapest ont pu assister à un concert de violons sur fond de "show" pyrotechnique assuré par une espèce de "toreador" français. Ils se sont ensuite vu offrir quelques victuailles en provenance de différents pays francophones : la Suisse et sa raclette, la France et son vin, le Vietnam et ses nems, le Maroc et son couscous, ou encore le Liban et ses falafels ont enchanté le bal des pique-assiettes et des cartes de visites.
Combien cela a-t-il couté ? Certaines langues déliées présentes à la soirée ont avancé une fourchette de 10.000 à 15.000 . . .
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