Au cours de sa conférence de presse hebdomadaire, le vice-premier ministre János Lázár a voulu relativiser les attaques dont la Hongrie fait l'objet dans l'affaire de ladite "loi CEU".
"J'aimerais que tout le monde reste tranquille et garde son sang froid" a déclaré János Lázár lors de sa conférence de presse hebdomadaire, au moment d'aborder le chapitre de la controversée modification de la loi sur l'enseignement supérieur, dite "loi CEU". Selon le vice-premier ministre hongrois, l'affaire a pris une dimension démesurée et a cédé à une "hystérie politique". János Lázár a réaffirmé la ligne de défense du gouvernement hongrois, selon laquelle la disposition votée mardi dernier par les députés ne menacerait pas le fonctionnement de l'Université d'Europe centrale (CEU). "Si le gouvernement avait un quelconque problème avec la religion de "l'Université Soros", alors il l'aurait déjà soumise à des contrôles", a-t-il notamment déclaré.
D'après János Lázár, l'enjeu de la . . .
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