Les socialistes au pouvoir ont beau avoir perdu les élections générales d’avril prochain avant même d'y avoir participé -c'est en tout cas l’avis de l’ensemble des médias, confortés par les instituts de sondage- cela ne les empêche pas de jouer crânement leurs atouts, à savoir une gestion macroéconomique de la crise plébiscitée à l’international et par les marchés financiers . . .
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