Tamás Fellegi, ministre hongrois du Développement National également en charge des questions d'énergie, a récemment fait part de son inquiétude quant au coût final de la construction du gazoduc Nabucco. Il estime que les investisseurs privés étrangers de l'industrie du gaz ne le soutiennent pas suffisamment. Derrière cette inquiétude de façade, c'est surtout la position paradoxale du gouvernement Orbán qui ressort, entre son protectionnisme, les besoins de développement et la dépendance énergétique du pays . . .
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