Depuis 10 ans, la Roumanie, comme la Hongrie depuis le changement de régime, consent à faire des efforts pour l'intégration des Roms, dans le style “discrimination positive”. Mais cette politique s'avère, comme en Hongrie d'ailleurs, avoir été un échec cuisant. Depuis des années, des millions d'euros ont été alloués pour leur intégration, notamment pour l'accès à l'éducation et aux soins hospitaliers. Mais avec la crise et l'émergence d'autres groupes sociaux en difficulté, les collectivités locales choisissent de faire leurs coupes budgétaires dans ce secteur précis . . .
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