Élu mercredi lors du congrès du Parti Populaire Européen (PPE) à Zagreb, le polonais Donald Tusk s'en est pris violemment au grand absent de l'évènement, le hongrois Viktor Orbán, opposant « la vérité et la décence » aux « fausses nouvelles, aux manipulations et à la haine ».
À entendre l'ancien Premier ministre polonais et président sortant du Conseil européen Donald Tusk dans son discours d'investiture, il apparaît nettement que Viktor Orbán n'obtiendra pas de lui la mansuétude de son prédécesseur, le français Joseph Daul. Le nouveau président du PPE semble décider à en finir avec le Fidesz, c'est à dire aboutir à son exclusion pure et simple . . .
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